Romance Language: French songs for lovers

romance (54K)
Romance Language (2002)


$15

"The sweet voice of Claudia Hommel will make you want to buy chocolates and dance along the Seine." -Ed Vincent for Oak Park Journal

Claudia Hommel brings together an exquisite ensemble of her favorite players to flirt, caress, love, lose, remember, and celebrate. So light a candle, pop a champagne cork, and nestle close to your amour. 

All lyrics and translations included.
Toutes paroles et traductions en français inclus.

Claudia Hommel, vocals
Johnny Frigo, violin, guest vocals
Bob Moreen, piano, keyboards
Chuck Kopp, accordion
Steve Roberts, guitar, mandolin
Jim Cox, bass
Rusty Jones, drums
Joe Vito, guest pianist

Romance Language by poet Yusef Komunyakaa
Commentaire par Pierre Saka

  • Mon coeur est un violon
  • Sous le ciel de Paris (Under Paris Skies)
  • The Song from Moulin Rouge
  • Mon manège à moi
  • Mon amant de Saint Jean
  • Parlez-moi d'amour
  • Paris in the Spring
  • Padam...padam
  • Paris at Night/April in Paris
  • La Seine
  • Le chaland qui passe (Parlami d'amore, Mariu')
  • Cerisier rose et pommier blanc
    (Cherry Pink and Apple Blossom White)
  • Lydia (de Gabriel Fauré)
  • Que reste-t-il de nos amours (I Wish You Love)
  • J'attendrai

ROMANCE LANGUAGE

by Yusef Komunyakaa

   A voice. Not only a piano
calling to a woman, but a woman
speaking a language of tenable blue
that salves each bruise. Each song
rides a syncopated ascension, half
hidden & all here. The tempo of give
& take-April's Paris spleen,
oaths & vows stolen from the mouth
of Aphrodite. In this broken season
on the edge of yes & no, new & old
worlds, present & future, the nine
mouths of desire devour ambrosia
as a sway of language draws Pan
out of sacred & profane provinces,
out of the disorder of blooms
at the almost healed-up
threshold. At the iron gates
we can still taste smoke
waltzing forward, unwoven
from some boneharp as keys open
vistas of yes. This isn't a dropped
stitch of luck begging false trillium
not to confess to the thorns,
or a stone polished by its motion
so grace can see in the dark.
This ensemble shapes itself
on nine wheels turning inside
the nervous system of a dream
coming true, worlds held whole
by a seam of lyrical blood.

Pulitzer-Prize winning poet and Princeton University professor, Yusef Komunyakaa is also co-editor with Sascha Feinstein of The Jazz Poetry Anthology.


COMMENTAIRES

de Pierre Saka

Si d'aventure, hommage lui était rendu pour sa vocation de servir si bien la langue française chantée, il conviendrait de lui dire, à l'instar du général Lafayette: "Claudia… Nous voilà!" Son nouvel album mérite louanges et remerciements. Il comporte quelques grands titres, quelques grands succès dont certains ont traversé l'Atlantique, réapparaître dans cette ville de Chicago, avec autant de charme. Dans un lieu baigné d'autant de cultures musicales, qui vont du jazz au classique, du standard glamour au rock le plus effréné avec toujours la même foi et la même voix tient du prodige.

Si le pur citoyen yankee tend l'oreille à Cerisier rose et pommier blanc ou à la Seine qui coule et roucoule et s'il en retient ainsi quelques notes de la "Douce France" il le doit à cette petite américaine dont le nom rime si bien avec "La Vie est belle". Claudia apporte un "swing phrasé" très personnel à ces chansons qui n'ont que très rarement connu ce tempo à leur création. "Bravo" pour le très bon arrangement de La Seine, "Bravo également" pour Que reste-t-il de nos amours, J'attendrai, Mon amant de Saint Jean et l'excellent Mon manège à moi. La liste continue: Lydia et remarquable arrangement avec la version italienne de Le Chaland qui passe. Cerisier rose et pommier blanc est un petit chef d'oeuvre. André Claveau le créateur qui va sur ses 86 ans serait ravi de l'entendre.

Félicitations.

Author of La chanson française à travers ses succés (Larousse, 1994 and 1998)


du chanteur Gérard CAILLIEUX

Alors, là, Claudia, quelle agréable surprise ! À peine suis-je redescendu de la salle du Lapin après mon « tour de chant » , que l'on me tend un cadeau : « Tiens, Claudia a laissé ce CD pour toi ! » Wouah ! Alors, déjà la photo — bien sûr, à l'unisson, j'imagine, de milliers de mecs, bonshommes, zigues, etc. — BELLE ! BELLE ! BELLE !... à la limite du supportable ; d'ailleurs il faut que j'arr�te de contempler la pochette car mon cardiologue m'a interdit ce genre d'émotions.

Là, cet après-midi, je suis en train d'écouter et, au-delà des arrangements, sobres, efficaces et magistralement écrits et exécutés, je découvre ta voix magique... oui, c'est le mot : « magique » � Oh, attends, en ce moment tu chantes Lydia et tu doubles ta voix... envoûtant ! Bon assez de compliments ! Après, les filles font les bêcheuses !

Ah, le plus important : toutes ces chansons (ou presque) que je connais par c�ur, que j'ai entendues des centaines de fois — je ne dois pas être le premier Français (ou Française) à te dire ça — j'ai le sentiment de les redécouvrir grâce à cette interprétation si délicieusement exotique ! Merci, merci et encore merci !

Gérard CAILLIEUX / Gégé, ton fan # 10 587 604 201